lundi 23 juillet 2012

Collaboration et partage, nouveau paradigme.

Dans le monde actuel la collaboration est absolument nécessaire pour générer la connaissance, pour encourager l’innovation et pour assurer l’équilibre social. Cette collaboration demande de la confiance et a comme source de provenance la générosité, parce-que sans générosité la collaboration n’est pas possible. Des sites comme http://www.geniuscrowds.com/ ou http://www.shareable.net où il est possible de partager des idées à propos des nouveaux produits sont des exemples de ce changement de paradigmes qui vont affecter la société humaine dans toutes ses sphères.
La culture de gestion d’entreprises comme Toyota ou les modèles digitales de ‘’cadeau’’ comme GNU / Linux, Wikipedia ou CouchSurfing sont aussi des exemples qui révèlent que les humains ne sont pas des égoïstes sans cure comme l'assurait la science économique traditionnelle, et que la collaboration est une arme des plus précieuses pour améliorer le bienêtre de la société.  
Le web social pour sa part, a permis aux programmeurs de partager le code (le cas de Linux), il a permis aux gens de partager leurs vies (sur Facebook), aux créateurs de partager leurs contenus (YouTube) et au présent on se trouve dans une nouvelle étape où les gens ont commencé à appliquer ces mêmes idées du partage du monde virtuel au monde réel.
Les réseaux permettent les biens communs basés dans la production par des égaux ainsi que l’intégration sociale des marchés, ce qui contredit l’idéologie du libre marché et ses fondements sur l’identité et le comportement humain. C’est la science qui montre que les êtres humains semblent être prédisposés pour la connexion et la collaboration dans les structures sociales au lieu de se livrer à une concurrence continuelle entre eux.  
Je vous invite à lire le livre ‘’The Wealth of Networks: How Social Production Transforms Markets and Freedom’’ de Yochai Benker, disponible en texte intégrale sur Google books.

En réplique au billet :
Vers l’économie de la collaboration

samedi 21 juillet 2012

Le diagramme de la culture «Geek»

Ce qu’on comprend par une personne «geek» est un concept qui a grandi avec les années. Dans l’actualité, on pourrait faire une classification des différents profils «geek» existants, ils ont tous des choses en commun mais aussi des éléments qui les différencient.
Le graphique qu’on montre à continuation sert comme représentation des propos antérieurs. Le graphique n’a pas une très bonne qualité mais il reflète de façon approfondie les principales et très diverses espèces de geeks, ses communautés sociales, ses activités, ses obsessions, les termes qu’ils utilisent et les idoles qui les caractérisent, ainsi que les points d’union entre les groupes.

Source: 

En réplique au billet:

Les échanges culturels et le web social

Est-ce que les réseaux sociaux favorisent les échanges culturels ou endommagent les cultures plus faibles?
En tant que réponse a cette question il y existent, à mon avis, deux possibilités: une qu’on peut appeler «parfaite», où tous les participants  échangent des traits culturels donc tout le monde apprend quelque chose de l’autre et une seconde, où la culture dominante s’impose et influence les autres.
Cette interaction se produisait déjà en ligne avant l’arrivé des réseaux sociaux  mais l’échange restait quand même assez local à travers l’utilisation des forums et des sites de chat.
Avec l’arrivée du web social des gens de partout au monde se rassemblent et partagent sur un même espace, les barrières géographiques et de langue s’effacent. Cependant l’échange n’est se produit pas de façon symétrique, les pays plus grands avec un meilleur accès à l’Internet influent le reste et les pays qui reçoivent cette influence copient les éléments de communication et les incorporent à leur façon d’agir ou d’expression sur les réseaux sociaux.
Aussi les personnes dans les pays avec accès limité à l’Internet vont naturellement chercher l’interaction avec d’autres pays tandis que ceux dans les pays avec bon accès à l’Internet ont la tendance à se renfermer sur eux-mêmes.
Mais il me semble que la vie en commun sur les réseaux sociaux se produit atour de sujets aussi amples que l’activité humaine et qui peuvent être de l’intérêt pour personnes de toutes les cultures. Ce qui est sur c’est que les réseaux sociaux, comme jamais auparavant, permettent un échange culturel massif et qu’il est possible et même habituel de prendre connaissance avec d’autres cultures pour des temps prolongés, ce qui devienne sans doute une expérience enrichissante.

vendredi 20 juillet 2012

Facebook vs. Google+... un round gagné pour Google+!

Google +, l’effort du web social de Google mis en fonctionnement en juin 2011 a obtenu le chiffre de 78 points sur 100 pour la meilleure qualification dans le classement des réseaux sociaux sur l’internet. Sa position était partagé avec Wikipédia qui a obtenu le même classement selon l’American Customer Satisfaction Index (ACSI), un index qui mesure la satisfaction des consommateurs américains.
Avec une qualification de 63 points, LinkedIn a obtenu meilleurs résultats que Facebook qui a obtenu pour sa part 61 points dans la liste de préférences dédiée aux plateformes sociales sur le web.
Youtube (propriété de Google) ainsi que Pinterest ont reçu 73 points et Twitter 64 points. Le site Myspace ne fait plus partie de la liste.
L’American Customer Satisfaction est une étude annuelle qui mesure la satisfaction des clients basé dans trois indicateurs : réseaux sociaux, portails d’internet et moteurs de recherche et information et actualités en ligne.


Réplique au billet :
Le match Facebook contre Google

jeudi 19 juillet 2012

LinkedIn et le vol d’identité

Selon une étude publié par la compagnie américaine Javelin Strategy and Research les utilisateurs des sites les plus populaires dont LinkedIn, Google+, Twitter et  Facebook seraient les plus affectés par le vol d'identité. Les utilisateurs de LinkedIn cependant sont en risque dans une fréquence qui dépasse de presque le double celle des autres sites mentionnés.
Les personnes qui ont des profils dans les médias sociaux mettent, selon le rapport,  leurs renseignements personnels à la portée des voleurs potentiels, un 68% font publique leurs dates d’anniversaire et un 45% ajoute aussi le mois et l’année de naissance.
Le rapport assure que plus de 60 % ont partagé leur sur le réseau, un 18 % affiche leurs numéros de téléphone et un autre 12 % a posté le nom de leur animal de compagnie. Ces questions coïncident avec les questions fréquemment posées par les institutions financières pour confirmer l'identité d’un client.
Les utilisateurs de smartphones ont été, dans l'ensemble, un 33 % plus en risque de fraude que le reste du public.  Un 32 % des propriétaires de smartphones n’actualisent pas régulièrement (dès qu’ ils sont disponibles) des nouveaux systèmes d'exploitation pour leurs appareils. Un 62 % n’utilise pas un mot de passe sur leur écran d'accueil permettant à quiconque d’accéder à leurs informations en cas de perte du téléphone, et un 32 % ​​ enregistre les informations de connexion sur leur appareil.

Réplique au billet:
Usurpation d’identité sur les réseaux sociaux suite
Sources:

https://www.javelinstrategy.com/news/1314/92/Identity-Fraud-Rose-13-Percent-in-2011-According-to-New-Javelin-Strategy-Research-Report/d,pressRoomDetail

http://www.prnewswire.com/news-releases/identity-fraud-rose-in-2011-based-on-findings-from-the-recently-released-2012-identity-fraud-report-by-javelin-strategy--research-139994703.html

mercredi 18 juillet 2012

Activité B, Bilan

INF 6107 Le Web Social

Mivio Ramirez

L’initiative choisie avait pour but de contribuer à la préservation et au sauvetage des sites du patrimoine mondial, c'est-à-dire des sites de valeur historique, archéologique ou environnementale etc. en danger de disparition. L’attention de l’initiative était centrée sur les sites présents dans les pays du tiers monde, et misait sur la sensibilisation des internautes à ces enjeux. Dans la pratique mon initiative essayait de ramener les visiteurs vers le site web (point de ralliement) qui, à la fois, présentait les organisations internationales qui travaillent plus activement dans la réalisations des objectifs mentionnés auparavant : L’«UNESCO World Heritage Convention», le «Global Heritage Fund», le «World Monuments Fund» et l’«International Union for Conservation of Nature» et avec lesquelles il est possible de participer en tant que bénévole, faire des donations etc.
Le « point de ralliement » pour mon initiative était le site web «Treasures in peril», (https://sites.google.com/site/treasuresinperil/). Le site a été crée avec l’outil Google Sites, de très facile utilisation, qui m’a permit de prendre contact avec un élément du «cloud computing» dans ce cas une application pour la création de sites conçue pour les navigateurs web.
Les moyens de communication en ligne utilisés pour attirer l’attention sur mon initiative étaient : Un blog, une chaîne sur YouTube, une page sur Facebook et une page sur Panoramio.
Le système d’analyse des statistiques de visites utilisé a été Statcounter, que j’ai trouvé plus facile d’intégrer dans la page après quelques essais infructueux avec Google Analytics.

Facebook

Il s’agissait de ma première expérience avec Facebook, même si je ne suis un pas un enthousiaste de son utilisation ludique, j’ai toujours était curieux de l’utilisation qu’en font les entreprises. J’ai essayé, sans avoir une liste d’«amis» et ne voulant mélanger une activité professionnelle avec des relations d’amitié, de trouver des groupes avec des intérêts similaires. À continuation la liste de groupes avec la quantité de membres et l’origine :

- Kültürel Mirasi Koruma Grubu (Cultural Heritage Protection Group) (Groupe «ouvert», 1272 membres, Turquie)

- Commission on Cultural Heritage, Conservation and Restoration (Groupe «fermé», 52 membres,  Philippines.
- Kangleipak Cultural Heritage Conservation (Groupe «ouvert», 25 membres, India. 

- Cultural Heritage (Groupe «fermé», 89 membres, Iran).

- Authority for Research and Conservation of Cultural Heritage-New Discovery (Groupe «ouvert», 91 membres, Éthiopie)

- Petra Forum for Cultural Awareness and Heritage Preservation” Qawafel” (Groupe «ouvert», 907 membres, Jordanie)

- Travel for nature and cultural conservation (Groupe «ouvert», 363 membres, Uganda.

- Better Together – Kerala’s Responsible Tourism Initiative (Groupe «fermé», 45 membres, India)

Facebook est un ressource obligatoire si l’on essai de mettre en place une campagne publicitaire d’une cause, d’un produit ou d’un service. Le potentiel de marketing qui offre ses 900 millions d’utilisateurs ne peut pas être négligé, mais aussi, une telle quantité des utilisateurs signifie une quantité pareille d’intérêts ou d’initiatives, donc il me semble  qu’il est très difficile de attraire l’attention des utilisateurs de Facebook vers une initiative quelconque, et qu’il faudra de l’effort et même des compétences prouvées dans le marketing et la publicité. L’aide d’un professionnel pourrait être nécessaire.

Panoramio

Il s’agit d’un service de Google qui permet aux utilisateurs de Google Earth savoir plus sur une zone spécifiques en regardant les photos que les autres utilisateurs ont prises à cet endroit. Les photos acceptées téléchargées sur le site peut être consulté en tant que couches dans Google Earth et Google Maps. Le service offre la possibilité de créer des groupes d’intérêt soit de joindre des groupes déjà crées. Dans mon cas j’ai décidé de créer un nouveau groupe parce que les groupes existants ne reflétaient les objectifs de mon initiative.
Cependant le manque de photos propres et mes préoccupations pour le respect des droits d’auteur sur les images, m’ont empêché de peupler ma page Panoramio. Pour moi l’idée était en premier lieu d’ajouter de la valeur au site et j’ai aimé la possibilité offerte par Panoramio de localiser les sites du patrimoine mentionnés dans le site, et pouvoir les visiter virtuellement.
Ayant toujours en tête l’objectif d’éduquer ou de sensibiliser les internautes à ma cause, l’utilité d’un tel service de partage de photos est facilement reconnaissable. Pourtant, si bien des visiteurs de mon site peuvent être dirigé sans trop de difficulté vers Panoramio à ce moment je n’ai pas une idée claire de comment attirer ‘‘automatiquement’’ des utilisateurs de Panoramio vers mon site web. Il reste, à mon avis, que d’essayer de sensibiliser les composants des groupes desquels on fait partie à une cause par moyen des descriptions faites dans les images ou par invitation directe.

YouTube

Avec près de 800 millions de visiteurs uniques chaque mois et une présence dans 43 pays et 60 langues, YouTube est un moyen excellent pour la promotion d’une cause, comparable et dans plusieurs aspects supérieur à la télévision, surtout par rapport aux faibles coûts impliqués. Mon idée était de créer un groupe et soumettre des invitations aux utilisateurs avec des intérêts semblables ou bien de me joindre à un groupe déjà crée, cependant la création de groupes a été temporairement arrêté en 2010, j’ai donc décidé de créer une chaîne à la place. Sans facilité pour charger des vidéos originaux j’ai crée des listes de vidéos ajoutées par d’autres utilisateurs ainsi que des vidéos tirées du site du Global Heritage Fund ou du site de l’UNESCO. J’ai crée aussi des listes de favoris et j’ai utilisé les expressions du web 2.0 comme ajouter des commentaires, des tags ainsi que les mentions «j’aime» dans les commentaire aux vidéos où j’ai inclus soit des liens vers mon site, soit vers les organisations mentionnées auparavant.

Blog

L’objectif primaire du blog était de fournir du contenu au site et aussi d’apporter deux façons pour les internautes et pour les moteurs de recherche de trouver mon initiative en ligne. La charge pour actualiser le blog est certainement lourde et c’est clair que si l’on l’entreprend il faut le tenir à jour sinon il meurt. Un blog statique ne va pas attirer des visites et il peut nuire définitivement l’initiative. L’écriture d’un blog doit signifier du plaisir pour l’auteur, qui doit se sentir à l’aise avec la ou les langues choisies pour sa création. Du temps et de l’effort doit être mis dans la promotion du blog, son optimisation pour les moteurs de recherche et dans l’attention à la communauté qu’il arrive à créer.

Statistiques de visite:

L’initiative comprends les 4 semaines allant du 15 juin 2012 jusqu’au 15 juillet 2012.

Fig. 1. Résumé des visites

Ma page de ralliement a reçu un total de 7 visites uniques, la quantité certainement très faible met en évidence le manque de travail de promotion de l’initiative sur le web ‘’traditionnel’’, c'est-à-dire l’optimisation du site pour améliorer son positionnement dans les moteurs de recherche, son inclusion dans les directoires web gratuits, la publicité en ligne,  (ex. Google adwords, emails de promotion, newsletters, échange de liens). Aussi une présence très limitée sur le web social a nuit la visibilité de mon initiative : Présence très récente sur Facebook, difficulté pour créer une liste de «vrais» contacts sur ce réseau, c'est-à-dire des contacts avec des relations de partage plus fluides, d’autres systèmes comme Panoramio ou Youtube, très bons à mon avis pour ajouter du contenu à un site mais difficiles à l’heure d’encourager des visites hors ces réseaux. La faible actualisation du blog a aussi conspiré contre la réception de visites, et le choix de la langue tant pour le site comme pour le blog ont probablement découragé les premiers visiteurs de retourner sur ces ressources (la maîtrise de la langue choisie est essentielle pour produire des textes crédibles et de qualité).

Fig. 2. Provenance des visiteurs

Comme on peut voir dans les figures 2 et 3 la provenance des visiteurs est assez variée.
Les États-Unis a produit la plupart de hits qui sont le résultat des visites des robots indexeurs, et d’une suggestion de visite directe.
Les suggestions de visite ont fonctionné aussi pour les cas de l’Argentina et de l’Espagne.
Pour l’Inde la visite a été produite à partir des groupes ajoutés sur Facebook (2 groupes de protection de l’héritage centrés sur l’Inde) et aussi grâce à un billet de mon blog sur un site historique de ce pays (la lecture du billet a été proposée aux groupes).
De manière que le référent le plus important ou le seul des réseaux choisis qui a produit de visites a été Facebook. Les autres systèmes sont sans doute à utiliser mais avec une stratégie bien définie et des connaissances approfondies.

Fig. 3. Référents

Conclusions
La promotion d’une cause dans le web social requiert du temps et de l’énergie. L’initiative que j’ai choisi, même si je trouve le sujet passionnant, risque de ne pas être de l’intérêt de beaucoup de personnes : la très faible quantité des groupes crées dans Facebook par exemple, qui répondent à des objectif similaires aux miens, me pousse à avoir une telle idée. Finalement la promotion (des causes) dans le web social va nécessiter des professionnels avec des connaissances très poussées ainsi que spécialisées.   

mardi 17 juillet 2012

Vie privée et sécurité dans les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont devenus des bases de données qui recueillent des renseignements personnels et des documents sur les activités des gens qui les utilisent. Des nombreuses personnes ajoutent  dans leurs profils des informations sur son état matrimonial ou sa ville de résidence par exemple, même si ces informations ne sont pas obligatoires. En réalité, on met à la disposition de tous des données qu’avant on évitait de fournir si facilement. Nos informations personnelles et les données sur notre vie privée devraient être plus valorisés parce-que son exposition pourrait nous causer des problèmes.
 Avec l’expansion de réseaux sociaux dans la dernière génération de téléphones mobiles (Iphone, Android…) les utilisateurs ont la possibilité de montrer, sur les réseaux sociaux, le point géographique exact dans lequel ils se trouvent à chaque moment grâce à la technologie GPS (géolocalisation) incluse dans ce type d’appareils. Les paramètres qui contrôlent cette activité ne sont parfois très clairs donc si l’on ne veut pas que notre localisation soit utilisée pour des fins non autorisés, il faudra bien contrôler ces paramètres, ou examiner attentivement les gens avec qui l’on partage de telles informations. 
Comme un exemple des problèmes qui pourrait nous causer l’utilisation négligée de ces technologies on peut imaginer qu’on accepte une demande ‘’d’amie’’ de quelqu’un que l’on ne connait pas personnellement. Si les options de sécurité dans notre profil ne sont pas correctement configurées cet  utilisateur pourrait avoir accès à tous nos mouvements et connaitre où l’on est et à quelle heure. Si l’utilisateur est un voleur de maisons il saurait quels sont les moments plus propices pour effectuer son vol.
Si l’on suspecte de quelqu’un sur les réseaux sociaux, les choix de sécurité plus communes sont de bloquer l’utilisateur ou de l’éliminer directement de votre réseau, mais si l’on est complètement sur que le profil est faux et frauduleux, l’action adéquate serait d’informer les administrateurs de la page pour que le profil soit éliminé définitivement.  Un autre cas d’atteinte à la vie privée est celui des applications développés avec le but d’obtenir information de notre profil et pour s’étendre après à travers la liste de contacts. Techniquement ce n’est pas un comportement frauduleux parce qu’avant l’installation de l’application on doit obligatoirement accepter un contrat permettant de cette manière à l’application d’accéder à notre profil. Il est important de connaitre les permis que l’on accorde  aux applications que l’on installe ainsi que vérifier périodiquement le activités que celles-ci réalisent sans la permission de l’utilisateur.

mercredi 11 juillet 2012

Nouvelles mesures de sécurité pour facebook

Facebook le géant du réseau social a pris des mesures proactives afin de protéger ses utilisateurs contre des menaces potentielles à la sécurité en relation avec les mots de passe. L’entreprise a affiché sur son blog deux changements majeurs que la société a mis en place pour les utilisateurs qui accèdent au site à travers leurs téléphones mobiles. Le premier ajout, appelé "générateur de code" est conçu pour rendre plus facile et sécuritaire, aux utilisateurs avec de nouveaux appareils, l’accès à leurs comptes. Les utilisateurs qui activent le générateur de code pourront recevoir un code d'autorisation via l'application Facebook sur leurs téléphones, ce qui élimine la dépendance dans les services de messagerie de texte.
Aussi, les utilisateurs seront également en mesure de cacher ou de signaler le contenu spam moyennant des appareils à écran tactile.
Facebook a également fait des efforts pour améliorer la sécurité pour les utilisateurs d'ordinateurs. Le site a récemment annoncé qu'elle informera les utilisateurs qui ont été infectés par des malwares DNSChanger, un type de malware qui modifie les paramètres DNS sur les ordinateurs et les relie aux sites Web malveillants. Le FBI a récemment annoncé que 350,000 utilisateurs sont toujours affectés par le malware et qu’ils ont arrêté le groupe de hackers responsable pour la plupart des infections.

Réplique au billet:

À propos des objets sociaux

Le défi c’est de réussir à qu’un produit, un service ou une image etc. devienne un «objet social». Le terme n’a pas une définition formelle, c’est la représentation d’une idée laquelle on peut gérer, référer et qui peut provoquer une réaction dans ce qui l’utilisent. Il s’agit de ce qu’on veut dire à propos d’un produit ou d’un service après l’avoir essayé. Ses raisons d’être sont aussi simples que le fait d’expérimenter une sensation positive et de partager l’expérience. Si l’on est capable de convertir un produit, un service, une image, un message etc. dans un objet social, il y a des conséquences importantes qui s’en décollent. Le niveau élevé d’interconnexion du web social permet que, par exemple, une critique comique ou bien faite à un produit devienne un objet social et dans quelques clics de la souris puisse provoquer un problème pour l’image d’une marque.
Le contraire est aussi possible, une phrase intelligente, un éloge ou un fait surprenant peut amener de grandes quantités de visites vers la page d’information d’un produit ou d’un service ou encore vers la page de vente ou de décision d’achat, même si l’achat se produit finalement hors du web.
Les objets sociaux ont besoin d’une série d’attributs : Ils ne doivent pas être suspects de manipulation puisque personne n’aime la sensation d’avoir été utilisé comme instrument. Ils sont des entités vivantes qui répondent aux réactions de ceux qui les manipulent,  et ils exigent un niveau élevé de contrôle et de monitorage pour être compris et suivis.
Les objets sociaux sont en train d’évoluer d’une utilisation casuelle à un développement plus naturel basé dans une communication sociale que le web encourage.

Réplique au billet :

mardi 10 juillet 2012

Relations symétriques et asymétriques

Avec l'avènement de Twitter arrive le concept de réseau social asymétrique. Dans les réseaux tels que Facebook on établi une relation directe entre les personnes que nous avons contacté et qui s’appellent ``amis’’, c’est à dire: pour que je soit ami d’une personne quelconque cette personne doit être mon ami, il s’agit donc d’une relation symétrique ou réciproque.
Dans Twitter par exemple une telle relation n’est pas nécessaire, suivre une personne ne l’oblige pas a nous suivre, ils' agit d'une relation asymétrique.
Il est habituel pour certains utilisateurs (surtout ceux qui s'initient dans les réseaux sociaux) de confondre la relation d'amitié ou d'acceptation qui propose Facebook avec le concept de ``suivi’’ qui fonctionne sur Twitter. Sur Twitter chaque utilisateur émet continuellement des messages qui sont à la vue de tous. Pour voir les messages il est nécessaire de s’abonner au compte d’un utilisateur qui nous intéresse, il s’agit de faire un filtre qui permet d'afficher les messages des utilisateurs choisis et ne pas afficher ceux qui ne nous intéressent pas, c'est-à-dire devenir des «suiveurs»(followers).
Généralement il existe un suivi mutuel entre personnes qui se connaissent ou entre groupes qui cherchent une interaction entre ses membres. Les figures publiques très populaires ou les institutions ne suivent pas beaucoup d’autres utilisateurs parce-qu’ils ont une fonction émettrice avec très peu d’interactivité. Il est important de comprendre que, suivre une personne sur Twitter n'implique aucune forme de réciprocité. 

La fiabilité des blogues

Même s’il existe plusieurs sources d’information en ligne, beaucoup de gens utilisent les blogues comme la première source de nouvelles et d’information. Les blogues, par rapport aux sites de nouvelles traditionnels ou réglementés, ont l’avantage d’être fréquemment actualisés, donc l’information qu’ils contiennent évolue grâce à l’actualisation en continu.
Le manque de réglementation (validation) à l’heure de publier une nouvelle donne aux blogues la capacité de refléter l’information en temps réelle ce qui constitue un attrait important. Les blogues sont des entités indépendantes donc il est possible de partager les analyses sur les informations ce qui a pour effet d’encourager la participation des lecteurs et les inciter à prendre en compte d’autres points de vue sur la nouvelle.
Donc comme mentionné auparavant, une plateforme blogue typiquement n’a pas de vérification ce qui les permet de fournir les nouvelles plus rapidement, mais le manque de contrôle permet l’altération des faits ce qui peut agir contre le blogue. Aussi, sans régulation, les billets d’un blogue tendent à refléter les opinions de l’auteur affectant son impartialité.
Outre des inexactitudes peuvent arriver dues à la hâte pour publier les nouvelles donc il faudra s’attendre et tolérer un certain degré de manque de fiabilité.


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dimanche 8 juillet 2012

Les blogues et le libre partage d'idées

Les bénéfices des blogues pour le libre partage d'idées sont nombreux. L'anonymat que les individus croient avoir lors de l'écriture des billet ou des commentaires sur les blogues les encourage à parler sur des sujets sensibles en public. Les pensées et les idées peuvent être transmises à travers la blogosphère sans se soucier des facteurs qui pourraient limiter les réunions communautaires traditionnelles. Le discours est donc plus sincère et spontané ce qui est une bonne chose.
Le développement des médias qui encourage une plus grande auto-expression est un facteur positif pour la démocratie. Les blogues ont la capacité de centrer le débat sur les politiques et les sujets d’importance et n’ont pas sur l’image, ils aident aussi les citoyens à ne pas tomber piège des slogans accrocheurs.
Le bloggage permet aux citoyens dans les régimes autoritaires d'exprimer leurs opinions à leurs compatriotes. Hossein Derakhshan, par exemple, est essentielle pour aider les Iraniens à créer des blogs à partir desquels exprimer leurs opinion et leurs critiques au gouvernement ou aux personnalités religieuses. Des blogues similaires encouragent la désobéissance civile et aident les citoyens iraniens, égyptiens, chinois et autres à mettre en place des espaces web afin de s'engager dans le partage non autorisés d'idées.
Réplique au billet:
La blogosphère et la démocratisation de l’information

samedi 7 juillet 2012

Le web social et les médias traditionnels.

L'Internet étant une création technologique très novatrice capable de contenir et de combiner tous les médias traditionnels comme les journaux, la radio et la télévision et d’offrir un accès plus rapide et plus interactif a représenté une menace pour les médias traditionnels.
Ceux-ci ont du s’adapter et intégrer les opportunités que l’Internet offrait afin d'assurer leur survie. Présentement on assiste à l’essor de la web 2.0 ou web social où la communication devient toujours plus digitale.
Les réseaux comme facebook, twitter et d’autres comme tuenti ou hi5 (réseaux sociaux populaires en Espagne et l’Amérique latine) ont de millions d’utilisateurs et sont entre autres caractéristiques, rapidement accessibles depuis des dispositifs mobiles de plus en plus utilisés ces jours, donc les médias traditionnels n’ont d’autre choix que se nourrir des réseaux sociaux afin de pouvoir suivre le rythme. La télévision, la presse écrite ou le radio par exemple ont besoin de très grandes quantités de ressources pour générer ses programmes: le médias sociaux de leur part en ont besoin de beaucoup moins parce que les plateformes de développement sont souvent gratuites et n’ont pas besoin non plus de personnel spécialisé dans sa production. De plus, les sens de permanence ou de produits terminés n’existent pas dans les plateformes sociales parce que les sources sont éditables et en évolution constante. Aussi la production, dissémination et le partage de l’information se fait plus rapidement que dans les médias traditionnels, mais plus important, les médias sociaux permettent aux organisations d’atteindre les consommateurs et de créer le dialogue.
Les médias traditionnels profitent donc de la communication en deux sens offerte par les réseaux sociaux. Les journalistes de presque tous les principaux journaux du monde travaillent et publient en Twitter offrant de l’information très actuelle par moyen, dans ce cas, des microblogues. Les programmes de télé utilisent leurs blogues pour recevoir l’opinion de téléspectateurs et les journaux sur le web offrent des entrevues avec des personnalités politiques, culturels etc. en temps réel, avec la participation directe de ses lecteurs.

vendredi 6 juillet 2012

Pourquoi les gens laissent-ils de bloguer?

J’ai trouvé un étude publié en 2010 par  Pew Internet & American Life Project qui donne un aperçu sur les raisons d'un certain segment d'internautes pour abandonner les blogs. L’étude en question, intitulé «Social Media and Mobile Internet Use Among Teens and Young Adults» montre que les jeunes aux États Unis ont perdu l’intérêt dans le blogage. La population dans le rang d’âge entre 12 et 17 ans ont réduit l’usage des blogues dans un 14%. Le même étude assure cependant que ils gardent toujours l’intérêt pour les web social qu’ils continuent d’utiliser dans un 73%.
Les jeunes américains auront changée les blogues pour de moyens de communication plus rapides et directs qui ne demandent pas la lecture ou la composition de longs textes, en accord avec l’esprit plus pratique de cette génération. Une autre cause de la diminution des blogues est due à la montée dans l’utilisation du microblogage, avec son caractère frugal et l’utilisation de phrases courtes pour exprimer la pensée.
L’antérieur ne signifie pas la disparition des blogues. Si bien la population entre 12 et 30 ne veut plus utiliser les blogues comme avant, les personnes en dessus de 30 ans apprécient toujours ce type de pages.
Amanda Lenhart, l’auteure de l’étude souligne que ce phénomène est la conséquence de la montée en popularité de Facebook et les possibilités de communication à travers cette plateforme qui évite le dérangement qui représente pour les jeunes écrire des longs billets et leurs permet aussi un échange plus aisé et moins technique. 

Réplique au billet: